Nous étions 56 choristes (16 soprani, 20 alti, 10 tenori et 10 basses) heureux de nous retrouver autour de Nicolas après cette interruption pendant le vacances scolaires.
Pour se réveiller, notre maestro nous faire prendre « L’Exil ». Le réveil n’est pas immédiat et Nicolas doit nous rappeler les bons conseils :
– Poser les partitions pour bien le suivre
– garder le tempo
– pour les hommes, anticiper les « Wo » qui ont tendance à toujours être en retard
– bien couper après « le regard de ma femme » mais ensuite tenir toutes les notes
– avoir des nuances plus marquées (avec des accompagnements toujours aussi énergiques mais moins forts, un début moins fort puis une montée en puissance et un crescendo à chaque couplet pour arriver Mezzo-forte au début du pont et Forte à la fin du pont puis une redescente en intensité).
C’est beaucoup mieux comme cela et notre chef est satisfait du résultat.
Nous poursuivons avec « l’Hymne à l’Amour » une première fois pour se rafraichir la mémoire et une seconde fois beaucoup mieux en suivant les mises au point répétées et en mettant plus de nuance.
Nous continuons ensuite avec « XY » avec quelques improvisations individuelles sur le premier jet. Nicolas nous fait retravailler le pont musical ainsi que les accompagnements à partir de la mesure 24. Il nous demande de le travailler chez nous pour que nous posions définitivement les partitions la semaine prochaine afin de mieux le suivre et d’être plus dans l’interprétation.
Durant la pause j’informe que notre concert du 11 décembre a été avancé d’une 1/2 heure. Le concert sera donc à 16h30 à la Résidence Autonomie « le Vernon » au 2570 avenue d’Uriage à Vaulnaveys-le-Haut ; le concert durera 1 heure et quart au total. Nous nous retrouverons sur place 1 heure avant pour la mise en voix et répétition sur place. Le programme des chants sera envoyé prochainement par Nicolas.
Un Doodle va être lancé pour connaître le nombre exact de choristes.
Nous terminons la séance avec la poursuite des apprentissages de « On dirait que c’est normal ». Nous travaillons donc les mesures 19 à 31 puis 32 à 36 pour bien caler les « Ha » des femmes sur le texte des hommes. Nicolas nous invite à continuer de travailler chez nous sur les enregistrements.