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Répétition du 8/XII/2021

Nous étions 50 (17 Soprani + 18 Alti + 9 Tenori + 6 Basses) à nous retrouver autour de Nicolas pour cette avant dernière répétition de l’année. Après un échauffement corporelle, et un faux départ (il faut laisser les Basses faire le Toum sur le premier temps !) nous nous échauffons la voix sur « Demain sera parfait ». Notre Maestro nous demande de mettre plus de joie, d’énergie et d’envie – On doit voir nos pommettes sourirent derrière les masques. Nous faisons également un exercice en frappant des mains sur les 2ème et 4ème temps pour bien accentuer les syllabes sur ces temps. C’est mieux et nous pouvons donc poursuivre avec la suite du programme de notre concert.

Nomade : nous devons le faire très doux et suspendu en liant bien et tenant les notes en fin de phrases. Les ponts doivent très doux mais en restant rythmés et énergiques. Enfin il faut bien garder le tempo notamment à la reprise du second couplet et sans ralentir sur la fin (seulement sur la dernière mesure). Nous enchantons Nicolas avec notre dernière version.

Je n’aurai pas le temps : rappel sur les nuances (avec crescendo et decrescendo), les « Même » et « Et » qui doivent être brefs, les violons pour les « Ouh » des Hommes (en prenant soin de bien caler le départ et de ne pas accélérer) et à ne pas respirer sur l’introduction (suivre les virgules pour placer les respirations autorisées). C’est Bien et Nicolas est satisfait.

Heureux : là encore, petit rappel sur les nuances, les voix d’accompagnements qui restent en retrait des Soprani, le début très doux et le crescendo tout au long de la page 3 pour rester fort (mais sans crier) sur la 4ème page et sur le final qui ne doit pas ralentir avant la dernière mesure (on suit Nicolas). Nous avons baissé.

Nous profitons de la pause pour offrir à Nicolas un petit cadeau de noël pour le remercier de son implication, de son énergie et de sa patience avec nous. Il est très ému et nous promet d’utiliser ce robot pour faire un dessert lors d’un prochain samedi de répétition.

De retour de la pause, nous prenons Heureux qui comme Ulysse que Nicolas conclut par un « Merci c’est très bien ». Il nous invite cependant à encore plus marquer les nuances.

Le lion est mort : Nous essayons d’ajouter quelques bruits de la jungle (pas trop fort) sur l’introduction aux percussions. Il faut que nous restions concentrés sur le départ et sur la prise de note mais on garde. Attention nous avons encore baissé. Nicolas fait retravailler un peu les couplets pour les Soprani pour accentuer le « Mo – ort » (est et Mo sont sur la même note). Notre dernier essai est couronné d’un « Belle énergie ! » de la part de Nicolas.

ma Môme : Après une première version « pour s’entrainer », les rappels pour les double-croches et une invitation à plus d’expression, d’émotion et d’intention, c’est beaucoup mieux. Marc nous fait remarquer à juste titre que la note pour les Hommes sur le « La » de « La fenêtre... » est en haut (la même que « fe« ) et non en bas comme dans la première phrase musicale. On se corrige sur le dernier essai.

Nous terminons la révision des chants du concert par Le vent nous portera. Nicolas nous rappelle aux doubles-croches et nous demande une continuité musicale entre le pont et « ce parfum… » avec même un crescendo sur cette dernière note du pont. Attention on a beaucoup baissé (presque un thon – pêcheurs que nous sommes !).

Nous terminons avec C’est beau la vie. Comme toujours nous devons nous souvenir que les voix d’accompagnement accompagnent et que la voix principale principe. Les accompagnements doivent donc restés feutrés mais avec des attaques franches et nettes et bien sûr de l’énergie. Nous travaillons le dernier couplet par voix ; Les Soprani doivent se faire confiance pour accrocher les notes hautes car elles les tiennent.

La semaine prochaine nous filerons le concert (en condition de concert = SANS PARTITION )

Répétition du 23/XI/2021

Nous étions 52 à nous retrouver pour cette répétition exceptionnellement déplacée au mardi. Après un petit échauffement corporel nous nous mettons en voix en reprenant « Demain sera parfait ». Nous le reprenons plusieurs fois pour ajuster les petits oublis depuis samedi et surtout pour y mettre plus de joie et de sourire et pour donner envie de chanter.

Annie et Sandrine prennent ensuite temporairement le relai pour nous faire retravailler « Utile ». C’est un peu laborieux au début donc nous retravaillons chacune des voix sur les deux ponts musicaux. Nous pouvons ensuite le reprendre en entier. Ça manque encore un peu de fluidité et ça mérite encore un peu de révision.

Nicolas reprend ensuite la main sur « C’est beau la vie ». il nous fait travailler par pupitre successif sur les mesures 23 à 42. Il est important de bien respecter les rythmes qui changent entre les différents couplets mais aussi de laisser le pupitre qui a la voix chanter les ‘tout ce » pour le rejoindre sur « qui tremble et palpite », « qui lutte », « que j’ai cru » etc… Lorsque nous sommes toutes et tous au point et bien calés, nous reprenons depuis le début jusqu’à la mesure 42. Nous continuerons la suite la prochaine fois.

Nous continuons ensuite sur « Que serai-je sans toi » en le chantant une fois en entier => c’est pas mal néanmoins nos attaques doivent être plus franches sur les couplets 2 et 3 et nous Nicolas nous demande de mettre plus de sentiment sur les couplets et de suivre ses nuances. Nous le reprenons une deuxième fois et Nicolas semble satisfait. Pour le final il faut bien le suivre et nous ne ralentissons que sur les deux dernières notes.

Avant de nous quitter, nous chantons « Le lion est mort » avec l’introduction aux percussions (et les basses au chômage partiel !). Les soprani doivent donc bien garder la notre donnée pour la lancer avec assurance après les 4 mesures de percussions seules. Il doit y avoir une vraie rupture entre la rythmique du refrain et le côté très cool des couplets en jouant notamment avec le « le lion est mo-ort ce soir »

Répétition du 22/IX/2021

Nous étions 56 (20 Soprani + 20 Alti + 8 Tenori + 8 Basses) autour de Nicolas à nous étirer comme des marionnettes pour nous échauffer. Puis ce fut le moment de quelques exercices de respiration abdominale et ensuite celui de l’échauffement vocal à 4 voix sur l’introduction de Heureux qui nous a permis son redéchiffrage voix par voix.

Heureux : pour l’introduction, le son doit être bien rond avec une attaque précise sur les « T » puis en fermant la bouche des « om » que l’on fait résonner dans la bouche jusqu’à sentir les vibrations nous chatouiller.
Par ailleurs Nicolas voudrait que ce chant commence très doux et aille crescendo jusqu’à la page 4 puis qu’on conserve le volume pour ne pas terminer en criant. Enfin, il faut s’approprier le texte et donner du sens à notre interprétation (par exemple « la force de nos 20 ans »).
Pour la suite (mesures 15 à 31), chez les Soprani, il faut faire attention et respecter les syllabes qui tombent sur le 1er temps (ex. mesures 15, 17 et 24) et celles qui anticipent le temps (ex mesures 17-18, 19-20, 27-28 ou 29-30). Les 3 autres voix accompagnent en retrait mais avec l’énergie.
Forts de tous ses conseils et essais, nous pouvons chanter le chant en entier et Nicolas apprécie.
Pour la semaine prochaine nous devons travailler le final (page 4).

Nous poursuivons avec Le Lion est mort en retravaillant d’abord les « Wim O Weh » des hommes (les recommandations sont les mêmes que la semaine dernière => voir CR précédent !) puis l’introduction des Soprani et Basses.
Nous enchainons ensuite en faisant travailler les Soprani sur le Refrain ; Attention le « Weee » de la première phrase musical est différent de celui de la seconde (il y a une fioriture en fin mesure 20 sur la première). Puis les Soprani et Alti chantent ensemble pour bien synchroniser le « o wim o weh » qui termine chacune des 2 phrases musicales (mesures 21 & 25).
Pour le couplet, Nicolas souhaite coller à la version d’Henri Salvador avec un rythme lancinant (influence des îles) et en tenant bien les notes. Cela crée une rupture avec le rythme de l’introduction et des refrains.
Nous le chantons alors jusqu’au Pont en appliquant ces consignes.
Pour la semaine prochaine nous devons travailler le Pont et la Coda.

Annonce : Nicolas nous rappelle que celles et ceux qui souhaitent participer au petits groupes doivent lui envoyer un mail.

C’est avec Je n’aurai pas le temps que nous continuons après la pause. Nous travaillons par pupitres les mesures 25 à la fin en commençant par les Tenori puis les Basses puis les deux ensemble (applaudis par les femmes). C’est ensuite le tour des Alti et enfin celui des Soprani dont le Fa (mesure 29) chanté avec assurance et envie fait l’admiration de tous les autres pupitres.
Nous sommes donc prêts pour chanter du début à la fin (et non l’inverse) et obtenir un « C’est bien ! » de Nicolas. Une remarque néanmoins pour les hommes sur les mesures 9 à 13 = il ne faut pas accélérer et veiller aux départs décalés. Nous le reprenons alors et obtenons cette fois un « C’est très bien » !

Pour terminer et pour le plaisir, nous chantons Ma Môme mais Nicolas l’interrompt car nous avons perdu un ton et beaucoup ralenti. Il nous le faire reprendre avec un rythme beaucoup plus rapide et c’est beaucoup mieux car on a tenu le tempo et le ton ! Comme il reste 5 minutes, nous chantons Heureux qui comme Ulysse (Nicolas nous demande de le retravailler en prévision du prochain concert en veillant à ne pas faire de coupure sur l’introduction en la faisant sans respiration).

Bonne soirée et bonne semaine.